L’industrie du taxi réussit son virage vert

En faisant passer la proportion de sa flotte de véhicules hybrides ou électriques de 4%
à 37% entre 2013 et 2018, l’industrie du taxi est sans contredit en train de réussir son
virage vert. Cette année, ce sont 9 000 tonnes de gaz à effet de serre (GES) en moins
qui seront émises par le taxi à Montréal, soit l’équivalent de 45 millions de kilomètres
en voiture à essence, ou 1123 fois le tour de la Terre. C’est là l’objet du reportage «Choc
électrique dans l’industrie du taxi», de Stéphane Blais, journaliste pour le site unpointcinq.ca1.

Pas moins de 1100 propriétaires de taxi conduisent aujourd’hui un véhicule Prius V de Toyota, ce qui en fait la voiture préférée de l’industrie de la métropole.

Les bénéfices liés à ce changement ne profitent pas uniquement à l’atmosphère, mais sont très vite ressentis par les conducteurs qui apprécient notamment les coûts de l’essence réduits de moitié pour les modèles hybrides.

Il ne faut pas passer sous silence les efforts soutenus d’Aéroports de Montréal exigeant que 35% des taxis desservant son territoire soient hybrides et, bien sûr, le projet-pilote de Téo Taxi. D’autres initiatives, comme celle de e-Taxi et de son modèle entièrement électrique fabriqué par l’entreprise chinoise ByD, sont aussi sur les rails.

L’industrie du taxi de Montréal peut être fière de ce virage vert !

Pour regarder l’intégrale du reportage, rendez-vous au
https://unpointcinq.ca/economie/taxi-montreal-choc-electrique/

Source : Bureau du taxi de Montréal

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