J’aime mon taxi

Depuis le dépôt du projet de loi 17, projet de loi qui vient mettre la hache dans l’industrie du taxi telle qu’on la connaît, je réfléchis à un texte sur le sujet. Parce que c’est bien beau écrire sur un coin de table, mais on y pense pas mal avant de se mettre devant le clavier.

Déjà, j’avais commencé à parler de l’angle que je voulais aborder, mais les événements dramatiques de vendredi dernier m’ont fait changer d’idée.

Une industrie malaimée

Elle a le dos large, l’industrie du taxi. Les préjugés envers les taxis sont nombreux. Pourtant, elle est révolue depuis longtemps l’époque des voitures sales, l’époque des chauffeurs avec la moitié des condiments de leur hamburger sur le devant de leur t-shirt, l’époque des « chars qui sentent les oignon rings ».

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Source : Journal de Québec

 

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